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66 revues n’ont pas eu de facteur d’impact : trop d’auto-citations

Points clés

Les informations sur la cuvée 2012 des facteurs d'impact arrivent, notamment sur le blog de Nature. L'an dernier 51 revues n'avaient pas eu le sésame, et en 2010, 34 avaient été éliminées. Cette année ce sont 66 revues dont les taux d'autocitation sont élevés. Il s'agit soit des auto-citations au sein de la revue, soit des citations entre revues (je cite ta revue, et tu cites la mienne dans les articles).

C'est peu (0,05 %) sur les 10 000 revues de la base Thomson Reuters. Il n'y a pas de revues prestigieuses dans cette liste de 66, car elles savent rester en dessous du seuil. 55 % des revues ont eu une augmentation (et on monte de plus en plus haut !), et 45 % ont baissé dont PLOS ONE. Mais PLOS ONE est un signataire de DORA et propose de ne pas tenir compte du facteur d'impact !!  Ceux qui sont les perdants, comme PLOS ONE, développent des indicateurs qui les favorisent, avec bon nombre de nouveaux 'metrics'. Le facteur d'impact reste un bon indicateur de notoriété des revues, mais ne peut pas évaluer les chercheurs (passez ce message à nos CNU…  No Comment…).

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Un commentaire

  • Mis à part le nombre de citations, y a-t-il d’autres critères utilisés pour déceler les fraudeurs ?
    Je pense notamment à l’estimation de la qualité des citations et de leurs crédibilités.

    Répondre

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