Pas besoin de traduire cette information relayée sur X (Twitter) par Retraction Watch ; est-ce clair ?
Pas d’argent pour les revues mercantiles de faible qualité
The Ministry of Universities Malaysia has just issued a notice prohibiting the country’s public universities from using funding from the state budget to pay for publishing articles in all journals belonging to the three publishers MDPI, Hindawi and Frontiers.
According to the Ministry of Universities Malaysia, this decision was made due to special concerns about academic integrity as well as about the issue of author names in articles and research works in this country.
The Ministry of Universities Malaysia has also established a special committee to control publication in predatory journals and poor quality journals, thereby improving academic ethics and protecting the reputation of universities as well as national.
Voici la source malaysienne traduite en anglais.
En France, on biberonne ces éditeurs de faible qualité
Peu de collègues en France ont compris la dérive du système des publications. Saluons l’initiative de Sorbonne Université qui essaye de ne pas inclure des revues de faible qualité dans la liste des revues présumées non prédatrices. Honte à ces CNUs qui acceptent les dossiers de candidats qui listent des articles publiés dans des revues de faible qualité. Des CNUs hésitent !
Des universités en Chine, l’Académie chinoise des sciences ont pris des décisions similaires. Que font nos universités et académies en France ? Pendant ce temps, on discute en France, sans imposer des bases intègres pour publier !