Je vous propose une devinette sur un vrai cas. Vous lirez tranquillement cette lettre très bien écrite, correcte et non injurieuse… J’étais dans la salle où cette situation a été discutée : qu’a fait le rédacteur en chef de l’époque ? Vous pouvez croiser des protagonistes de ce merveilleux cas. Je m’excuse auprès d’eux car j’ai perdu mon Tipp Ex.
Si Cabells recense plus de 16 000 revues prédatrices, si STM estime qu’il existerait 35 000 revues sceintifiques en anglais à comité de lecture (domaine
J’ai présenté en janvier 2024 cet article estimant que l’hydroxychloroquine (HCQ) avait causé la mort de 17 000 personnes sur 6 pays de mars à
Félicitons tout d’abord Le Point et le journaliste Olivier Hertel qui ont mis en ligne le 5 septembre 2024 à 16 h 17 cette information. De
C’est une excellente enquête de deux journalistes (Loris Guémart et Jean Abbiateci) publiée le 5 août 2024 sur le bon site ‘Arrêt sur images’. Le
Actualités des sociétés de rédacteurs et des revues biomédicales : JAMA, The Lancet, BMJ, NEJM, revues électroniques,... ISSN 2429-1528
Réalisation : Cyloé agence web à Lyon
3 commentaires
Magnifique cas typique du vol de « paternité » !
Une Danoise, Maria Toft, lutte contre ce type de vol
https://forbetterscience.com/2023/08/28/please-dont-steal-my-work-by-maria-toft/
J’espère que vous nous raconterez la fin de l’histoire demain… Suspense !
Merci pour ce cas de Maria Toft.
Pour l’histoire de Troyes : le rédacteur en chef de l’époque (décédé depuis) a désigné deux membres de rédaction qui ont chacun appelé les protagonistes qu’ils connaissaient pour passer un message : on se calme et il n’y a eu aucune suite. Est-ce qu’en 2023, nous ferions de la même façon ?
J’ai l’impression que ce « vol » n’était pas une « prise illégale d’intérêt », car il semble qu’il avait pour objet d’informer autant que de se prévaloir d’un mérite. Bien que cela ne retire rien à la malhonnêteté des auteurs, le fait publié ne paraît pas avoir pu leur procurer de bénéfice matériel direct.
Il en est malheureusement tout autrement de nos jours, quand la moindre publication a désormais comme but à peine déguisé de créer une « start-up » pour en tirer des revenus personnels au détriment d’investisseurs naïfs.