Comme pour 2012, je viens de recevoir l'attestation de mes crédits-heures de formation 2013 en tant que relecteur pour La revue Prescrire. J'en ai eu moins qu'en 2012, tant pis ! Dans le même temps je constate :
- que des revues françaises remercient leurs relecteurs sur une ou 2 pages dédiées des numéros de début d'année,
- que des revues anglo-saxonnes m'envoient systématiquement un pdf à télécharger pour certifier que j'ai fait un travail de relecteur, et que cela compte dans ma formation continue.
Je me demande vraiment pourquoi nos éditeurs français ne font pas comme La revue Prescrire et ne m'envoient pas des crédits de formation dont je serais fier ! Me remercier ne me suffit pas, je veux une attestation.
Les revues devraient montrer l'exemple et ainsi le travail des décideurs serait facilité : ils reconnaîtront officiellement que la relecture en tant que relecteur pour une revue à comité de lecture est un acte de formation. C'est le cas dans de nombreux pays, et la France devrait s'internationaliser pour ses concepts de FMC/DPC…. Ce que j'écrivais en février 2013 reste d'actualité : Quand les responsables actuels du DPC seront remplacés par des professionnels pragmatiques, et compétents en éducation, la France reviendra à la réalité.
Un commentaire
Bonjour,
Je viens de découvrir l’activité de « relecteur scientifique » et je suis tombé sur votre article. Ceci me semble très intéressant et en tant qu’étudiant en pharmacie j’aimerai beaucoup participer à de telles activités. Je vous serez reconnaissant de m’indiquer comment accéder à un travail de « relecteur » ? Faut-il s’adresser directement à la revue prescrire comme pour n’importe quel autre demande d’emploi ?
Bien à vous,
Fr.