Nos propos sont en général scientifiques et techniques, mais les mileux financiers observent le businees des revues scientifiques, et s'interrogent sur l'impact d'internet et de l'Open Access (OA) sur ce secteur. La rapport publié le 11 février 2013 par la banque HSBC analyse surtout Elsevier et Informa. Il est aride à lire, plein de chiffres, je n'ai pas tout lu, mais j'ai regardé des analyses, par exemple celle du site Scholarly Kitchen, et copié ci-dessous les key points. En pratique gold OA et le modèle sur abonnements pourraient cohabiter. Mais quelques messages semblent émerger :
- OA will not be introduced in a way that puts existing journal publishers out of business : pas de risques majeurs pour les grandes maisons d'éditions
- We found no appetite for regulation of APCs : APcs (Article Publishing Charges) sont les frais payés par les auteurs aux revues qui publient en gold OA ;
- There is a risk that libraries lose more in funding than they save in subscriptions, intensifying the confrontation between libraries and publishers : les bibliothèqes payent cher des abonnements, mais si les institutions commencent à payer des APCs, le coût pourrait être augmenté…
- No funders foresaw that the role of publishers would or could be fulfilled by universities or funders : je suis d'accord avec ceux qui pensent que le green OA n'est pas lla solution de long terme, car ce n'est pas le métier des Universités….
- et quelques données encore :
