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Suggérer des reviewers lors de la soumission des vos articles : une ‘arnaque’ pour les revues qui se font pièger

Points clés

Peer review scamNous avons évoqué plusieurs fois cette pratique incroyable de chercheurs qui reviewent leur propre article, ou qui téléguident des copains pour ces relectures… La pratique augmente : vous soumettez un article et vous suggérez des reviewers (connus ou non), mais l'email suggéré revient dans une boite email que vous avez créée et que vous gérez…   vous n'avez plus qu'à envoyer l'avis de relecture à la revue… Les fondateurs du blog RetractionWatch ont publié un article relatant ces histoires dans Nature du 26 novembre 2014…. Ceci montre la fragilité du système de peer-review car de nombreuses revues ont été victimes et la réaction pourrait être de ne plus demander de suggérer des relecteurs ! BioMedCentral a découvert 50 articles reviewés par leur auteur, et enquête sur ce qui s'appelle une fraude bien organisée. BMC a immédiatemment déconnecté la fonction de demande de noms de reviewers dans la plupart de ses revues. RetractionWatch a évoqué les problèmes de BMC ! Mais lisez cet article de Nature : plus de cent cas connus, et 110 articles rétractés, et toutes les grandes maisons d'éditions en sont victimes : Elsevier, Wiley, Springer, Taylor & Francis, SAGE,…

Quels sont les signes qui doivent alerter les rédacteurs de revues ?

  • The author asks to exclude some reviewers, then provides a list of almost every scientist in the field.
  • The author recommends reviewers who are strangely difficult to find online.
  • The author provides Gmail, Yahoo or other free e-mail addresses to contact suggested reviewers, rather than e-mail addresses from an academic institution.
  • Within hours of being requested, the reviews come back. They are glowing.
  • Even reviewer number three likes the paper.
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Un commentaire

  • Quittant le chemin des écoliers, et dérivant quelque peu : « Le problème, ce n’est pas que l’étude d’impact soit bidon, elles le sont toutes par construction, et tout le monde s’en tape, ministère compris, puisque c’est le pétitionnaire [d’une étude d’impact environnementale] qui choisit et paye son bureau d’étude. On surnomme d’ailleurs en interne les études d’impact des « Cherchez l’arnaque »…http://www.eauxglacees.com/Sivens-Testet-la-face-cachee-de-l

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