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Les chercheurs italiens utilisent des pratiques préjudiciables en recherche dans plus de 50 % des articles (comme les américains)

Points clés

Il s'agit d'une étude faite en Italie en utilisant le même questionnaire que celui qui a été utilisé aux USA. L'article est dans PLOS ONE, en mars 2017, avec pour titre : "Questionable research practices among italian research psychologists"

Pour les italiens, il y avait 277 réponses…. et pour les US 2000 psychologues. Les résultats donnent le vertige…il s'agit de déclarations (sous-estimations ??). Regardez tranquillement. Ces données ont été reproduites en Allemagne, mais aucune étude n'a été faite en France (heureusement). Ci-dessous le tableau complet, mais quelques simplifications :

  • Ne pas rapporter toutes les données : 48 à 63 % des répondeurs
  • Décider de collecter plus de données après avoir vu les premiers résultats : 53 à 56 %
  • Ne pas décrire toutes les conditions d'une étude : 16 à 28 %
  • Arrêter de collecter toutes les données car on a  identifié ce que l'on voulait : 10 à 16 %
  • Arrondir une valeur de p pour la rendre significative : 22 %
  • Dans un article, ne décrire que les expériences qui ont marché : 40 à 46 %
  • Décider d'exclure des données après avoir examiné les conséquences de l'exclusion : 38 à 40 %
  • Rapporter une données inattendue en disant qu'elle avait été recherchée dès le début : 27 à 37 %
  • Dire que des résultats ne sont pas affectés par des données démographiques (genre) sans en être sûr : 3 %
  • Falsifier des données : 1 à 2 %

QRP Italie

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