Lors du congrès WRCI (World Conference on Research Integrity) début mai 2013, j’ai participé activement aux sessions sur les relations entre revues et institutions. Je suis engagé dans le groupe de travail sur ce thème. Les constats :
- Ce n’est pas aux revues, ni aux comités de rédaction, d’investiguer quand il y a des suspicions de mauvaises pratiques des auteurs/chercheurs ; en général ce sont les revues qui sont les premières à suspecter ces mauvaises pratiques ; l'article est parfois le premier contact avec des pairs pour discuter des résultats de recherche.. lors du peer review, et après publication ;