C'est toujours l'excitation au sein des comités de rédaction des revues, et cette année il y a eu un mois de retard (fin juillet 2014) pour la publication des facteurs d'impact. C'est un bon indicateur de la notoriété des revues. Les anamyses sont intéressantes et utiles, en particulier pour comparer les revues au sein d'une discipline, etc… Il faut laisser les ignorants de la formule de calcul nous expliquer que c'est un outil pour évaluer les carrières…
Vous trouverez des informations sur le site de Thomson Reuters, et vous pouvez télécharger les données sur le blog HepatoWeb. Félicitons Didier Ménecier pour ce travail sur son blog que vous pouvez visiter longuement.
Des blogs ont discuté ces nouveaux facteurs d'impact, et Scholarly Kitchen nous a rappelé quelques bons billets anciens sur ce sujet. Une analyse a été proposée sur Perruche en Automne, avec le fait que PLOS ONE continue à baisser lentement (notons qu'avec raison, les rédacteurs de PLOS ne sont pas orientés par cet indicateur). Quelques revues françaises ont des scores raisonnables.
Plutôt que suivre la dictature du facteur d'impact, regardez quelles sont les dérives de l'évaluation de la recherche, et regardez DORA, avant de signer la pétition DORA. Je vous rappelle que 15 organisations françaises, dont Iinserm et Cnrs sont signataires de cette décalration !