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Pseudo-revues ou revues prédatrices : comment éviter les pièges ? DOAJ et Think, Check, Submit

Points clés

Pseudo J WameDepuis que la liste de Jeffrey Beall a disparu, les chercheurs ne peuvent plus avoir d'aide pour identifier les revues prédatrices. J'ai beaucoup de collègues qui me sollicitent pour savoir si une revue est douteuse et c'est difficile de répondre. La liste de J Beall comprenait 1155 maisons d'éditions (publiant plus de cent revues pour certaines comme OMICS), et 1294 revues quand elle a été arrêtée. Cette liste manque, et je conseille de choisir des revues Open Access listées dans le DOAJ, et/ou dans une base de données comme PubMed, Scopus ou autres. Le site Think Check Submit peut aider. Il est soutenu par de grands maisons d'édition.

WAME (World Association of Medical Editors) a publié un excellent billet sur des conseils pour identifier les revues prédatrices. La rédactrice en chef des Annals of Internal Medicine, C Laine, est la première auteure de ce billet. Une lecture attentive de ce billet donne quelques bons conseils, mais il faut bien connaître… Il y a bien sûr les critères de J Beall (dont certains posaient problème), le DOAJ, et Think Check Submit. Un arbre de décision reproduit ci-contre est utile.

C Laine a proposé le terme 'pseudo-journals' pour remplacer predatory journals…  C'est peut-être mieux.

J'ai encore rencontré fin 2016 un PU-PH français sur un comité de rédaction d'une revue prédatrice qui ne voulait ni l'admettre, ni demander d'enlever sa photo et son nom.

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