Publié le 14 septembre 2018, ce code de 32 pages est plus qu’une mise à jour de la version 2004. La Hollande a expérimenté des scandales dont ceux de D Stapel, Poldermans, et quelques autres. Un communiqué de presse indique les changements entre les deux versions. Le téléchargement du code 2018 est gratuit à partir du communiqué.
Le public ciblé ne se limite pas aux chercheurs et étudiants car explicitement des chapitres concernent les boards des institutions, des comités d’intégrité, et aussi les institutions.
Le chapitre 1 du Code traite de son champ d’application : à quoi s’applique-t-il et qui est lié par ce code ? Puis, en conformité avec le code ALLEA et les documents comparables de nombreux autres pays, il couvre les domaines suivants :
– Le chapitre 2 définit cinq principes d’intégrité qui sont à la base de bonnes pratiques de recherche : ‘Honesty, Scrupulousness, Transparency, Independence, Responsibility.’
– Le chapitre 3 distille ces principes en 61 normes pour les bonnes pratiques dans les phases respectives du processus de recherche. Une bonne recherche exige le respect de ces normes tout au long du processus de recherche.
– Le chapitre 4 formule les devoirs des institutions : ils doivent assurer un environnement de travail qui promeut et garantit de bonnes pratiques de recherche.
– Le chapitre 5 décrit les cas de non-conformité. avec les normes du chapitre 3 qui peuvent constituer une inconduite en recherche et une sanction peut être imposée : seulement dans les cas graves. Mais même dans les cas moins graves, il peut s’avérer nécessaire que le de prendre des mesures correctives, et éventuellement aussi des mesures préventives.
