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Un rédacteur de Frontiers encore mis dehors ! Evitez les revues prédatrices de Frontiers

Points clés

LicenciementLe groupe Frontiers n'aime pas les critiques, et lutte contre ses détracteurs. Les licenciements de rédacteurs devraient être rares, et motivés car la liberté d"un rédacteur est un principe de base. Un témoignage d'un rédacteur est inquiétant suite à son licenciement. Le billet sur ce blog est détaillé.

Je cite le blog de Leonid Schneider : En fait, l'article suivant de Regina-Michaela Wittich, ancienne rédactrice en chef d'un journal Frontiers, raconte comment elle a été licenciée par Frontiers parce qu'elle a rejeté trop de d'articles parce qu'ils étaient de qualité scientifique insuffisante, au lieu de les envoyer dans le processus "rigoureux" d'examen par les pairs de Frontiers (prétendument "amélioré par l'intelligence artificielle") où leur rejet devient peu probable, et on rappelle parfois aux relecteurs leur devoir de faire preuve de créativité.

Ensuite vint le témoignage de RM Wittich (microbiologiste espagnole), rédactrice en chef de Frontiers in Microbiology, est effrayant. Elle a été licenciée après des avertissements car son taux de refus était trop élevé : "Lors de cette réunion, elle [une réprésentante de Frontiers] a mentionné que le taux de rejet au sein de la section MEB avait augmenté à plus de 60 %, un facteur qui ne pouvait être toléré par la rédaction, et non sans m'expliquer que dans le passé, un certain nombre de rédacteurs en chef de Frontiers ont dû quitter la revue."

Frontiers in Microbiology (comme PLOS One, Scientific Reports,..) prend des articles habituellement publiés par les revues de sociétés savantes comme l'ASM. Evitez le groupe Frontiers, sur lequel je me suis parfois trompé !

Le groupe Frontiers a des revues en gold open access, c'est à dire que les auteurs payent à l'acceptation des articles. Les revenus de Frontiers augmentent avec le taux d'acceptation. Ce n'est pas le premier licenciement dans ce groupe qui a été actif pour faire fermer la liste de Beall qui considérait Frontiers comme un groupe de revues prédatrices ? La note Wikipedia explique les troubles de ce groupe. Les comptes ne sont pas publiés par ce groupe privé.

Merci à Bernard Paquito.

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