Voici le dernier paragraphe d'une opinion publiée dans Nature le 2 janvier 2020. Ce paragraphe résume bien une situation commune, à savoir que la critique, souvent salvatrice, des étudiants et jeunes chercheurs est dangereuse pour leur carrière !
Le texte tient sur une page, est facile à lire. Vous pouvez l'afficher dans une salle de staff.
Il est temps d'être plus aimable envers ceux qui critiquent et d'exiger plus de responsabilité et d'humilité de la part de ceux qui sont au pouvoir. Au lieu de punir les gens qui signalent des erreurs, nous devrions nous empresser de les embaucher, de leur donner des prix et de leur accorder des subventions pour qu'ils puissent continuer à améliorer la science. Le moins que nous puissions faire est d'offrir un espace pour la critique fondée sur les faits, à l'abri de l'intimidation et des représailles. C'est seulement grâce à ceux qui détectent les erreurs que nous pouvons proclamer que la science s'autocorrige.