Lors du congrès mondial sur l’intégrité, il y avait Nick den Hollander qui gère les Dilemma games. Il est à l’université Erasmus, Rotterdam. Il est francophone et comme il l’a fait avec une journaliste de Nature, nous avons pu évoquer son travail. Je lis les Dilemma games sur mon smartphone, et au début de chaque mois, il ajoute un cas. Il y en a 107 à ce jour (juin 2022).
Ce sont des cas courts écrits à partir de vraies situations. Il y a 4 ou 5 scénarios pour répondre. C’est prévue pour ‘jouer’ en ligne et voter, etc…. Cela permet d’engager la discussion. Il n’y a pas toujours de bonne réponse quand je discute des cas avec des collègues ou des étudiants. Ces cas permettent d’engager des discussions car les réponses ne sont jamais homogènes dans un groupe. Ces cas ouvrent des discussions sur le fonctionnement des revues, sur les conflits dans des équipes, sur de nombreuses pratiques douteuses en recherche.
Un exemple est donné dans l’article de Nature : “I’m a PhD candidate, I have sent in my article to a high-standing journal and it has been rejected. But now my supervisor can help me, because they know somebody who is on the editorial committee. If I add them to the paper as an author I can get it published. What should I do?”
Un commentaire
Bonjour, merci pour ce partage.
Pour nous qui sommes de l’autre côté, rive sud, ajouter le nom d’un auteur de la rive nord est parfois une nécessité.
Merci