Deux correspondances du Lancet du 21 mars 2009 en réponse à l'attaque suivante
"No fewer than eight of the 12 authors, including the first and corresponding author, are employed by Merck, the funding sponsor of the study. Moreover, data were analysed and the process supervised by employees of Merck. Three employees drafted the first version of the manuscript. Three out of four authors not employed by Merck report receiving industry support."
La réponse des 4 auteurs académiques tend à dire que la transparence expose aux dangers de la critique : faut-il être complètement transparents ? Est-ce quand un scientifique connu devient employé d'une industrie, il perd son âme ? Les critiques sont parfois faciles. Les auteurs de l'industrie répondent aussi.