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Le futur du partage des données selon le directeur Science Ouverte de PLOS

Points clés

Les revues du groupe PLOS sont parmi celles qui ont fait le plus d’efforts pour la Science Ouverte, avec celles de BMC/Springer, Elservier, Wiley, etc… J’ai repris les points importants d’une interview de Iain Hrynaszkiewicz, directeur de Open Research Solutions chez PLOS, et basé à Cambridge, UK. Cette interview a été publiée en mars 2021 par The Publication Plan. Des informations complémentaires sur un blog de PLOS. Les ‘data availibility policies’ de PLOS sont détaillées !

  • Le partage des données avec les articles publiés n’a augmenté de manière significative que grâce à des politiques obligatoires soutenues par les revues.
  • Le soutien aux mandats des financeurs pour le partage des données semble s’être accru au cours des dernières années.
  • La principale préoccupation des chercheurs est généralement l’utilisation abusive potentielle de leurs données s’ils les rendent librement accessibles. Je considère qu’il s’agit davantage d’un problème de confiance ou de culture que d’un problème pratique.
  • De nombreuses études ont montré que les données simplement « disponibles sur demande » ne sont pas disponibles dans la pratique. Chez PLOS, nous travaillons avec les auteurs pour nous assurer que les déclarations génériques « données disponibles sur demande » ne sont pas une option dans les articles publiés, et nous implorons davantage de revues et d’éditeurs d’adopter une approche similaire.
  • Les éditeurs doivent redoubler d’efforts pour que le partage des données dans des archives soit aussi facile pour les chercheurs que le partage des données dans des informations complémentaires.
  • Les politiques des revues et des financeurs figurent souvent parmi les principales incitations au partage des données de recherche. Si elles sont mises en œuvre efficacement, ces politiques ont fait leurs preuves.
  • Le principe « aussi ouvert que possible, aussi fermé que nécessaire » est une bonne ligne directrice, qui reconnaît que certaines données, telles que les données sensibles sur le plan juridique ou éthique, ne peuvent pas être entièrement dans le domaine public.
  • L’examen obligatoire des données par les pairs ne sera pratique que dans certains cas… Une solution pratique qui pourrait être plus largement adoptée est d’encourager les évaluateurs à tenir compte de la disponibilité des données dans leur évaluation des articles.
  • Le problème suivant auquel nous souhaitons nous attaquer, au-delà de la politique des revues, est l’alignement des politiques des financeurs et la concordance des politiques des financeurs et des revues.
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