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Iconographie simple pour éviter les revues prédatrices : un exemple pour toutes les spécialités

Points clés

predatory j ejaTrop de nos collègues ignorent les risque liés aux revues prédatrices, voire cautionnent ces revues car ils publient facilement. Certains ne veulent pas faire de démarche pour enlever leur nom des ces comités de rédaction fantômes. Accueillons avec joie un éditorial dans European Journal of Anesthesiology qui donne de bons conseils : Predatory journals in anaesthesiology and critical care:
what to know and how to avoid pitfalls! L’optique des auteurs français est de focaliser sur le choix de la revue à laquelle vous soumettez un article, et d’ignorer toutes les listes noires, etc… Les 5 conseils ci-contre sont simples, mais pas toujours mis en oeuvre. C’est bien.

Le site Penser Vérifier Soumettre est excellent. Tous mes billets pour comprendre les revues prédatrices sont ici.

Un inconvénient néanmoins : des revues légitimes, de bonne qualité, ne sont pas indexées dans des bases reconnues. C’est le cas de nombreuses revues non anglaises, et des revues françaises sont pénalisées. C’est important dans des domaines de recherche comme les Sciences Humaines et Sociales, mais cet éditorial s’adresse aux anesthésistes.

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4 commentaires

  • Merci pour ce billet, rapidement publié après notre publication!

    Merci pour vos efforts continus, nous serions ravis de vous accueillir pour une conférence si vous avez des disponibilités.

    belle année!

    Répondre
  • Bonjour,
    merci pour cet article. Je rebondis sur le commentaire tout à fait exact que les systèmes d’indexation internationaux sont pénalisants pour les revues en langue françaises. Dans cet éditorial nous partageons l’expérience de Sorbonne Université médecine qui depuis 2021 propose une liste des revues non prédatrices (https://sante.sorbonne-universite.fr/recherche-0/liste-des-revues-non-predatrices). Cette stratégie permets d’apporter aux systèmes internationaux un point de vue « français » que je trouve complémentaire, nécessaire et important. Il s’agit également d’une première barrière opposable à tous universitaires qui choisirait de publier dans une revue prédatrice.
    Excellente journée et bonne continuation !
    Arthur James

    Répondre
  • Bonjour,
    Un autre critère concernant les sollicitations par des revues/éditeurs prédateurs. Si le e-mail de sollicitation se termine par « unsubscribe », on est renvoyé sur une page qui n’existe pas en cliquant. Cela marche à tous les coups et c’est aussi un bon critère.

    Répondre
  • OUI, MERCI, vous avez raison, MAIS :

    cliquer ‘unsubscribe’ est un indicateur de l’existence de l’adresse email et du fait que l’email a été lu. Ceci incite les envoyeurs à garder ces adresses email pour d’autres sollicitation.

    Il y a plusieurs publications sur cette question, dont la première était https://www.redactionmedicale.fr/2016/12/bmj-de-noel-des-chercheurs-neo-zelandais-ont-recu-21-spams-par-jour-pour-leur-proposer-decrire-un-ar

    Cdlmt

    Répondre

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