Est-ce que l’IA va enfin pousser les évaluateurs à utiliser des méthodes qualitatives plutôt que quantitatives ?
Voici encore un éditorial sur les dangers (et bénéfices de l’IA), paru dans The Lancet du 6 juillet. Le résumé fait pas l’IA, relu par moi-même, est ci-dessous.
Les revues scientifiques sont en grand danger… Les articles trompeurs devraient se multiplier sans pourvoir les dépister !! Les paper mills progressent, comme vu au congrès d’Athènes (WCRI). Des éditeurs de complaisance et prédateurs utilisent probablement l’IA pour le peer-review… Bien qu’à terme l’IA risque de gagner et faire le peer-review….
La suggestion de cet éditorial est de bon sens : arrêtez-vite cette course dite du Publish or Perish. Tout est lent… voire très lent, même si tous sont d’accord pour changer… Par exemple SIGAPS est défendu par la DGOS et les petits soldats suivent…
Un résumé fait avec l’IA (et relu pour l’endosser)
J’ai utilisé Copilot (8 juillet 9 h 50) pour générer un résumé des points clés de l’article :
- Crise de l’intégrité scientifique : La recherche fait face à des problèmes croissants tels que les rétractations massives et les manipulations de la revue par les pairs.
- Promesses et risques de l’IA générative : Bien que l’IA puisse aider à planifier et rapporter des recherches, elle présente des risques comme la production de textes trompeurs.
- Importance de la responsabilité humaine : Les auteurs doivent déclarer l’utilisation de l’IA et suivre des directives strictes pour garantir la transparence et l’éthique.
- Réévaluation nécessaire : Il est crucial de repenser comment les chercheurs sont évalués et récompensés pour éviter que l’IA n’amplifie les problèmes existants.